J’ai commencé à travailler dans le domaine de l’informatique à l’âge de 14 ans en offrant mes services bénévolement ou en tant qu’étudiant dans des magasins d’informatique.
En 1993, j’ai obtenu mon premier emploi où j’ai aidé une administration à mettre en place Windows 3.11. Ils étaient équipés d’un ordinateur central et de terminaux 3270, mais ils ont décidé de passer à l’informatique ouverte en raison des limitations imposées par l’ordinateur central dans un monde où les utilisateurs avaient de plus en plus de pouvoir sur leur capacité à travailler de manière autonome.
Cela m’a donné l’opportunité de mettre en place des serveurs, un réseau informatique et la première connexion à Internet en 1996!
C’est ainsi que j’ai découvert les premières failles de sécurité de l’époque, leurs conséquences pour la continuité de service, pour l’image de l’entreprise et l’émergence d’outils comme les anti-virus pour lutter contre celles-ci et maintenir la continuité de service .
À partir des années 2000, en m’appuyant sur mes compétences techniques, j’ai développé des compétences rédactionnelles, d’analyse, de formalisation et de gestion de projet en m’impliquant dans la rédaction de plans de projets, de notes pour la direction, de l’organisation d’équipes et de la gestion de logistique autour de projets de plus en plus grands.
Mon objectif était et est toujours de partir des besoins des utilisateurs et pour les intégrer au centre des projets pour leur garantir une réponse à leurs besoins, un accès constant leurs applications et une disponiblité maximale de leurs données pour réaliser leur travail de la façon la plus fiable et productive possible.
Autodidacte passionné, ma curiosité ne s’est jamais éteinte, j’ai découvert le monde de l’électronique, des raspberry pi, des data centers, des outils de gestion de milliers d’ordinateurs et plus généralement des enjeux de grands groupes d’utilisateurs.
J’ai participé à la rédaction ou rédigé moi-même des articles pour expliquer ces technologies de façon simple et accessible pour que beaucoup puissent s’en inspirer et en bénéficier.
Un de mes plus beaux articles : ikea retro gaming – Une console Recalbox dans une table Ikea – Framboise 314, le Raspberry Pi à la sauce française….
et sa version en anglais : Cheap Retro Gaming Arcade Table With Integrated Display : 7 Steps (with Pictures) – Instructables
Un autre exemple sur le rapsberry pi et les arduino : Pi Mediacenter OSMC pilotant un Arduino en mode “esclave” – Framboise 314, le Raspberry Pi à la sauce française….
J’ai appris la programmation, j’ai passé des certifications, j’ai suivi de nombreux cursus mais mon envie d’apprendre m’a toujours incité à explorer des technologies qui allaient au-delà de mon travail habituel.
En 2021, durant la pandémie de covid, j’ai franchi le pas, après avoir longtemps réfléchi, et je me suis lancé dans l’impression 3D. J’ai fait l’acquisition de ma première imprimante 3D, une anycubic vyper. J’en ai ensuite acheté deux autres, puis mon enthousiasme a un peu diminué.
Je consacrais beaucoup de temps à essayer des filaments, à faire des réglages, à modifier des pièces, à changer de logiciels, et souvent avec des résultats assez variables. Je pense aujourd’hui que je passais 80 % de mon temps à paramétrer, prototyper, expérimenter, régler et 20 % à imprimer avec des résultats satisfaisants.
En 2023, j’ai découvert le monde de l’impression 3D sous un autre angle grâce aux machines “out of the box” de bambu lab, ce qui veut dire en français, « capables d’imprimer en sortie de boîte ».
Ces machines coûtaient cher pour un hobby, mais elles me permettaient de consacrer 90 % de mon temps à imprimer et d’utiliser le temps restant pour m’initier à la peinture des impressions 3D, au travail de finition avec différentes techniques et à l’impression 3D d’objets de grande taille sans laisser ma machine tourner pendant 3 jours !
Me voilà, en 2024, prêt à offrir des formations à des personnes créatives curieuses ou des personnes qui veulent découvrir un nouveau hobby avant d’acquérir le machines. Les imprimantes 3D sont maintenant assez performantes pour imprimer sans avoir à s’occuper de tous les petits réglages et de recherches sans fin sur internet pour modifier tel petit paramètre ou telle petite option.
Nous sommes au début d’une révolution ! Les machines sont devenues faciles à utiliser ! … à condition de savoir un peu manier les logiciels qui leur fournissent les fichiers à imprimer. Mais en quelques heures, on obtient déjà de superbes résultats et pas avec des toutes petites pièces, non, avec de vraies grandes pièces de plus de 20 cm de haut !
Par ailleurs, je propose des services de “digital toubib” pour m’auto financer en vue d’investir dans du matériel pour les formations et de faire progresser mon niveau avec l’acquisition de nouvelles machines qui s’annoncent encore plus performantes !
Comment pouvez-vous savoir si je peux vous aider !?, si vous m’appelez pour mes services de “digital toubib”, je me fais fort en 10 minutes de poser un diagnostic gratuit et de vous proposer concrètement de vous aider en vous indiquant clairement combien cela va vous coûter et pour quel résultat.
Si vous souhaitez une formation 3D, parcourez le site et vous découvrirez ce que je propose !
Bonne lecture et à bientôt j’espère !